Description
Jean-Luc Dalcq fait partie de cette race d’auteurs que l’on qualifierait volontiers d’enragés. Ces réflexions sont acérées, aigres, cruelles et incisives, mais pleines d’humour et d’une salutaire auto-dérision. C’est aussi un grand amoureux et malgré les apparences, un idéaliste un peu déçu qui se fait violence.
À part ça, il peut rigoler très fort et fréquenter les bistrots liégeois où il lui arrive de trouver l’inspiration. Là, comme partout ailleurs.
Échantillons
Qui sait ? Dieu est peut-être le masque du diable
Considéré comme « mauvais américain »,
on l’a fusillé pour avoir lancé la grève de la guerre.
Toujours bien vendre son âme au diable.
Par acquit de conscience.
Bourgeois: prolétaire qui n’a pas réussi.
L’amour m’a mordu. Depuis j’ai la rage.
Avis
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