Description
Ça faisait longtemps que JPé ne nous avait plus raconté d’histoires.
Pour la peine, il nous en offre pas moins de 29 (+1).
Entre la légèreté et la noirceur, en passant par l’absurde – Je n’avais pas réfléchi aux raisons pour lesquelles Amélie Nothomb s’était déshabillée, toujours était-il qu’elle se retrouva dans mon bain, occupée à me savonner les genoux –, il nous emmène dans les méandres de sa pensée.
Finalement, il nous livre aussi beaucoup de lui.
Ces nuits noires et silencieuses au milieu de la forêt, les repas de famille autour de la grande table en bois, les lits glacés en hiver, le bruit de la rivière, l’odeur du feu de bois… Réminiscences d’enfance.
Une fois encore, il nous montre comme il aime la langue, comme il se plaît à en jouer…
Je suis un dénoyauteur de mots, un dépiauteur de phrases, un désosseur de langage, un décortiqueur de sens.
Il se lâche, il nous intrigue, on pourrait penser qu’il flirte avec une certaine schizophrénie.
Il va loin. D’ailleurs, va-t-il bien ?
Vous vouliez des nouvelles de JPé ?
Vous allez être servis !
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